avery ► reading into every word you say

nielsen, avery emma.
" citation. "

nom(s) ► nielsen. prénom(s) ► avery emma. âge ► vingt-six belles années au compteur. date et lieu de naissance ► née le treize juillet à bakersfield, californie. statut social ► fiancée depuis deux mois. traits de caractère ► joviale, active, caractérielle, lunatique, franche, impulsive, attachante, têtue, hypocondriaque, douce, sensible, piètre séductrice, organisée, impatiente. groupe ►green is fashion.

▹ MAKE A MEMORY.

Avery vient d'une grande et belle famille. Troisième et avant-dernière des enfants Nielsen, elle possède un grand frère et une grande soeur avec qui elle s'entend à merveille. Elle a toujours été très proche de cette dernière, partageant avec elle tous ses petits secrets. Puis le petit dernier, avec qui elle ne partage pas grand, au vu de son jeune âge -ayant plus de dix ans d'écart-. ► Depuis qu'elle est enfant, elle rêve elle aussi d'avoir sa propre famille nombreuse: cinq enfants, dont des jumelles et trois garçons. ► Avery est ce qu'on peut appeler hypocondriaque. Quand elle a un mal de tête, elle se dit avoir une tumeur au cerveau. Quand elle a une crampe à l'estomac, c'est le début d'un cancer. C'est son docteur qui s'enrichie au final. ► Elle préfère les films en noir et blanc. ► Elle aime passer ses dimanches matins au marché de la ville se promenant avec son petit panier en osier. ► Elle ramène d'ailleurs tous les dimanches un sublime bouquet de fleurs pour mettre sur sa console à l'entrée. Elle varie chaque semaine les couleurs. ► C'est une excellente cuisinière. Elle aime concocter des petits plats savoureux à son fiancé lors de soirées en amoureux. ► Elle n'aime pas l'eau. A la place elle boit du thé. ► Elle a tendance à extrapoler tout ce qu'on peut lui dire. Elle tire des conclusions bien trop rapidement, ce qui peut devenir de gros problème. Que ce soit d'ordres personnels ou non. ► C'est une jeune femme pleine de ressources, elle arrive à se tirer de n'importe quelle situation. ►Elle est persuadée que la vie extraterrestre existe, et est la première à clamer haut et fort que la zone 51 détient cette information. ►Avery aime se sentir aimer de son entourage. C'est pourquoi elle enlace très souvent les personnes qui lui sont chères.

▹ WE WERE BORN TO DIE.

Depuis qu'elle est tout petite Avery a toujours été habitué à recycler les produits courants de la vie, à utiliser le vélo plutôt que de se laisser conduire par sa mère à l'école. Aujourd'hui elle vit toujours dans cette même optique, triant, surveillant sa consommation d'électricité et d'eau, et préférant utiliser son vélo pour se rendre en ville plutôt que sa voiture. La nouvelle politique du maire quant à l'écologie mit en place et en valeur à Bakersfield lui convient parfaitement. Elle ne demandait pas tant de changements, mais cela ne la dérange pas plus que ça personnellement.

quelques informations:

somebody that i
used to love

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La proximité était telle que je sentais le bout de son nez venir caresser délicatement le mien. Nos souffles se mêlaient et nos regards se perdaient l'un dans l'autre. Mason vint effleurer mon visage de ses doigts repoussant une mèche qui me tombait sur les yeux. Je me mordillais la lèvre inférieur d'excitation. Il avait une telle emprise sur moi qu'il m'en faisait perdre mes moyens. Il passa son bras derrière ma nuque m'attirant définitivement à lui. J'attrapai alors ses lèvres avec désir passant mes doigts dans ses cheveux. Je ne me lassais de sa présence. Je me sentais vivre à ses cotés. Il était l'homme pour lequel je pourrais faire tous les sacrifices possible. Il était le seul homme de ma vie, mon premier amour. Celui qui vous donne des papillons dans le ventre et des étincelles dans les yeux. Je le connaissais certainement mieux que je ne me connaissais moi même. Nous partagions tout depuis notre plus tendre enfance, nous étions comme inséparable. Une amitié sans faille où les sentiments vinrent très vite se mêler. Je me détachais -non sans mal- de ses lèvres posant tendrement mon index droit sur celles-ci. « Tout ceci ne pardonnera pas ton retard. » soufflai-je plus amusé qu'autre chose. Il se mit à mordiller gentiment mon doigt tout en me regardant avec son air qui me faisait fondre de désir. Mason savait comment s'y prendre avec moi, c'était certain. « Très bien, très bien, mais.. » commençai-je faussement prête à lui pardonner son retard alors qu'il était déjà tout pardonné, quand il vint poser à son tour un doigt sur mes lèvres pour me faire taire. « Sache que je serai me faire pardonner d'une dizaine de façon. » J'arquai un sourcil avant de me laisser entrainer dans les bras du jeune homme, m'attirant avec désir dans notre lit.

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« Oh, Mason, tu es là. Je t'attendais. » dis-je tout en venant l'enlacer affectueusement. Cela faisait plusieurs heures que je me tournais les pouces à l'appartement m'inquiétant de ne pas le voir arriver. Mon sourire s'effaça soudainement quand Mason retira brusquement mes mains de son cou, les repoussant. Je fronçai les sourcils ne comprenant pas ce qu'il lui prenait. « Mason ? » le questionnai-je tout en cherchant son regard, qu'il semblait éviter. « C'est fini. » lâcha t-il froidement, sans pour autant me regarder. J'agitais alors mon regard dans tous les sens, mon coeur battant à vive allure. Hier nous étions encore en train de parler de notre futur, et aujourd'hui il venait me dire que tout était fini. Que s'était-il passé entre hier et maintenant pour qu'il puisse agir de la sorte ? « Non. Non, c'est pas fini. Regarde-moi quand je te parle ! » me mis-je à crier contre lui perdant mon sang froid et tapant faiblement avec mes poings contre son torse. Il ne pouvait pas me faire ça. Il n'en avait pas le droit. Pas après tout ce qu'ils avaient vécu ensemble. Je l'aimais trop pour qu'il m'abandonne, me jette de la sorte. Il devait se ressaisir. « Je ne veux plus de toi, Avery. Dans quelle langue veux-tu que je te le dise ? » Mes yeux s'encombraient peu à peu de larmes. Je ne voulais pas le croire. Je ne voulais pas croire qu'il puisse me faire ça. Il était si détaché dans sa manière de parler, que cela me brisait littéralement le coeur. Je déglutissais difficilement. Mes doigts se glissèrent dans mes cheveux, le long de ma tête, posant finalement mes mains sur mes tempes. « Je m'en vais, et ne cherche pas à me retrouver. Ca vaudra mieux, pour nous deux. » J'en perdais mes mots, je ne savais plus quoi lui répondre. Il était si froid et distant, je ne le reconnaissais plus. Mes larmes se mirent à couler le long de mes joues rosées ne pouvant les retenir plus longtemps. Il venait de balayer notre relation sans ménagement, sans qu'il ne montre la moindre compassion pour moi, pour nous. Il prit la peine de me regarder une dernière fois, d'une façon dont il ne m'avait jamais regarder, me donnant des sueurs froide, avant de tourner les talons définitivement. La porte claqua, et ce fut la dernière fois que je le vis passer le pas de cette porte. Je m'effondrai alors au sol, laissant couler sans relâche mes larmes, comprenant que tout était bel et bien fini.

somebody that i
need to love

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« Tu en es sûr ? » souffla Ari tout en me regardant intensément, me sentant vaciller au moindre regard qu'il pouvait me porter. « Oui. » répondis-je, ravalant difficilement ma salive. Le silence se faisait pesant dans la pièce. Nos regards se percutaient, et nos rythmes s'accéléraient. Ari vint poser délicatement sa main sur ma cuisse et se rapprochait dangereusement de moi. « Hiiiiiiiiiin erreur! » s'écria t'il tout à coup dans un rictus. J'écarquillai les yeux et pouffai subitement de rire. « Merde alors, j'étais sûr de moi sur ce coup. » Il me tapota amicalement l'épaule en guise de compassion face à ma nullité pour la culture générale. Ari était l'une des plus belles rencontres que j'avais fait depuis le départ de Mason. Un pure hasard nous avait amené à nous rencontrer, suite à quoi nous avions peu à peu sympathiser, jusqu'à se voir tous les jours pour se parler de choses et d'autres. Une alchimie si forte que je commençais sérieusement à fondre pour cette homme, ressentant de plus en plus de choses à son égard. Choses que je ne pensais pouvoir ressentir encore après mettre fait briser violemment le coeur. « Je crois qu'on va s'en arrêter là. » s'amusa t'il à me dire alors que je reprenais son calme. « En effet, je pense qu'il serait plus sage. » Nous venions de passer l'après-midi chez moi, à discuter, rire et se chamailler sur nos opinions personnelles. Il me faisait vivre à nouveau, me permettait d'oublier mes peines de coeur et de m'ouvrir à nouveau à de nouvelles histoires. Je lui en étais pleinement reconnaissante. Alors qu'il attrapait sa veste au dos de la chaise, nos regards se croisèrent. Et s'en réfléchir, je me précipitais dans ses bras accrochant ses lèvres avec passion faisant augmenter violemment mon rythme cardiaque, cédant à nos pulsions respectives.

Dernière édition par Avery Nielsen le Ven 6 Avr - 2:25, édité 9 fois