OLI ♦ holy goof.

faulkner, oliver moses.
" You know what hurts most? The seconds in the morning where you’ve just woken up, and for those mere precious seconds, you’ve forgotten the reasons you’re unhappy, the reasons you’re so broken. And then it hits you again, like a stab to the heart, and you remember all the reasons you didn’t want to wake up. That hurts. "

nom(s) ► faulkner. prénom(s) ► oliver moses. âge ► vingt-huit ans. date et lieu de naissance ► le vingt-cinq juin à Bakersfield. statut social ► célibataire. traits de caractère ► sensible, drôle, généreux, attentionné, perfectionniste, pleurnicheur, enjoué, optimiste. groupe ► green is fashion.

▹ MAKE A MEMORY.

► C'est un vrai cœur d'artichaut. Il tombe amoureux très rapidement, et pleure lorsqu'il se fait larguer. True story.
► Il est fan de Madonna et chantonne tous ses tubes lorsqu'il y a un silence dans la pièce.
► Même s'il peut paraître idiot/benêt des fois, il est pourtant très intelligent.
► Il est paysagiste, la nature est son amie.
► Il fait très attention à sa silhouette, car il sait que les années passent et que la vieillesse arrive à grand pas.
► Il possède cinq chiens qu'il a nommé aux noms des 7 nains; il y a Grognon, Simplet, Dormeur, Joyeux et Doc.
► Il a un petit plaisir: se griller une clope de temps en temps.
► Il a passé deux ans en Inde, s'étant engagé dans une mission humanitaire.
► Lorsqu'une bagarre se déclare, il ne frappe pas, il court.

▹ WE WERE BORN TO DIE.

Oliver étant paysagiste, il s'émerveille tous les jours de la beauté de la nature. Il ne se déplace qu'à vélo, et considère l'écologie comme un sujet important si l'on veut préserver la planètre pour les générations futures. Cependant, il n'est pas trop d'accord en ce qui concerne les bars et autres endroits de divertissements, mais il se dit qu'il va s'y habituer (et puis il peut toujours boire de l'alcool chez lui). La nature, c'est son élément alors il es prêt à tout pour la préserver et la rendre encore plus belle.

quelques informations:

❝ Am I mad at you? That’s your main concern after shattering my whole world? Mad for what? Breaking my heart? Or for all the lies? Maybe for letting me put all my trust in you only to be betrayed? How about the fact you didn’t even have the decency to tell me to my face? Or the way you think it’s crazy that I’m crying over it cause to you breaking up is no big deal. Am I mad at you? No, just destroyed by you. ❞

▹ SOMEBODY THAT I USED TO KNOW.

« Ecoutes, Oliver, tu es un gars merveilleux mais ... » Oliver lui coupa la parole, tout en restant le plus poli au monde. « Désolé, tu disais ? Je suis merveilleux, mais je suis pas le mec pour toi, t'es amoureuse d'un autre, c'est pas moi c'est toi, tu sais pas ce que tu veux, tu préfères les femmes, t'aimes pas mes chiens, tu préfères les bad boys, je suis pas la bonne chaussure pour ton pied, tu penses que je suis gay ... je comprends, écoutes, c'est pas grave. » La jeune femme fut étonné de son comportement, elle s'attendait à ce qu'il se met à hurler, pour dénoncer l'injustice. En quelques instants, Oliver était redevenu célibataire. Il semblait condamner à finir ses jours seuls, quelques soient les différents efforts qu'il faisait pour être le gendre idéal. Son problème était peut-être que justement, il l'était trop. Mais il ne désespérait pas, et même si le soir même, il serait devant Dirty Dancing, un pot de la glace à la main, une boîte de mouchoirs sous la main, sûrement en train de sangloter, il savait qu'un jour, une femme l'accepterait comme il était. Et même si ce n'était pas demain, un jour, il aurait une épouse, avec des millions d'enfants pour le combler de joie.

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Il était minuit, les bars commençaient à fermer. La population se déplacait vers les boîtes de nuits, mais deux énergumènes restaient coincés sur leurs chaises. La scène était pathétique: Oliver, bière à la main, complétement saoul, se lamentait encore et encore sur les femmes, ces créatures sans cœur. A ses côtés, se tenait Malo, qui lui aussi se lamentait car il était totalement amoureux d'une femme qui ne s'en apercevait même pas. Bien sûr, l'alcool n'arrangeait rien à la situation. Tous deux n'arrêtaient pas de marmonner, en grand état de déprime. Oliver était même aux bords des larmes: en l'espace de trois mois, il s'était fait largué trois fois. Oliver était la version masculine du dicton commun "trop bonne, trop conne". Ce mec était une vraie perle: il était adorable, attentionné, très respectueux, il détestait la tromperie et en plus il adorait les chiens. Mais les femmes, désillusionnés par tant d'hommes infâmes, ne semblaient pas voir qu'en lui se tenait l'homme parfait (ou presque). Malo grogna un instant et Oliver, dépité, le regarda s'enfoncer encore et encore dans ses propos incohérents. « Comment elle peut pas s'en apercevoir, j'en peux plus, j'ai envie de me marier avec elle, putaiiiin. » A son tour, Oliver se lamenta. « Je suis bon qu'à être jeté comme une vielle chaussette. Je suis voué à l'éternel célibat, je vais mourir vieux garçon avec mes cinq chiens. Je vais devenir un gros con râleur comme Clint Eastwood au début de Gran Torino. » Le barman qui nettoyait ses verres, les regardait et ne pouvait s'empêcher de rire devant cette scène. Malo essaya un instant de se lever, avant de se résigner: il ne tenait pas debout. Oliver fit un signe au barman, tout en hurlant. « Joe, tu peux nous appeler un taxi ? Et au passage, s'il pouvait se garer dans le bar, ça serait cool. » Malo s'esclaffa un instant, puis finalement, ils restèrent dubitatif, à se regarder dans le blanc des yeux. Ils étaient pathétiques, et le pire c'est qu'ils le savaient et s'en foutaient complétement.